Le Burundi s’approche des échéances politiques de 2025 pour les élections législatives et de 2027 pour les élections présidentielles. Le discours officiel reste rassurant sur le respect des droits de l’homme en général et spécifiquement sur le processus électoral en cours mais beaucoup reste à faire pour assainir le climat socio-politique et sécuritaire en vue d’organiser des élections réellement crédibles, qui répondent aux standards internationaux en la matière.
L’objectif de cette analyse est d’identifier les principaux facteurs qui entravent l’exercice des droits civils et politiques en général et ceux des opposants en particulier dans ce processus électoral afin de proposer des solutions durables tant sur le plan de la gouvernance politique que législatif.
Spécifiquement, il est question de relever les violations des droits des opposants dans le contexte électoral de 2025-2027 de manière à déterminer des cas d’intolérances politiques, les enjeux des politiques liés aux élections et de formuler des recommandations. Le constat qui se dégage est que le processus électoral est confronté à de multiples défis découlant de la mauvaise gouvernance et de la crise non résolue de 2015. Lire le rapport en intégralité
Leave a Reply