Depuis le 25 avril 2015, cinq ans jour pour jour, le Burundi traverse une crise politique consécutive à la décision du Président Pierre Nkurunziza de briguer le troisième mandat en violation de l’Accord d’Arusha et de la Constitution qui en est issue. Des manifestations de contestation de ce mandat ont suivi. Le régime a mis en place un système de répression féroce contre toutes les formes d’opposition politique réelle ou présumée, qui s’observe jusqu’à nos jours. Des leaders des partis politiques d’opposition, de la société civile, des membres et sympathisants ont été contraints à l’exil, des organisations de la société civile ont été radiées et des media indépendants ont été détruits et suspendus, des media internationaux ont été interdits d’opérer au Burundi sans oublier les ONGs locales et internationales ainsi que les organismes des Nations Unies. Lire ou télécharger l’intégralité du rapport
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