La situation préoccupante et critique des droits de l’homme au Burundi sous le régime du
Président Evariste Ndayishimiye met en lumière une réalité alarmante, découlant d’un paysage
socio-politique complexe qui influence les priorités et les dynamiques actuelles du pays. Après une
longue période de conflits civils générés sous l’administration de son prédécesseur en 2015,
l’arrivée de Ndayishimiye à la présidence, en juin 2020, a suscité des espoirs de changements
positifs potentiels dans la gouvernance nationale. Lire le rapport en intégralité