Le contexte burundais entre 2015 et 2025 est caractérisé par des violations flagrantes des droits de
l’homme, suscitant l’intérêt des observateurs tant nationaux qu’internationaux. Après les élections
controversées de 2015, critiquées pour leur opacité et leur manque d’intégrité, le pays a connu une
intensification de la répression, visant non seulement les opposants politiques, mais également les
acteurs de la société civile, les journalistes et les citoyens. Le climat politique est teinté de peur, où
toute voix dissidence est réprimée, entraînant des rapports accrus concernant des arrestations
arbitraires, des enlèvements et disparitions forcées, des violences basées sur le genre, des
assassinats ciblés et des exécutions extrajudiciaires. Cette atmosphère de violence et d’intimidation
a gravement compromis l’état de droit et restreint les libertés fondamentales, soulevant de sérieuses
inquiétudes concernant la situation des droits de l’homme dans le pays. Lire le rapport en intégralité