RAPPORT D’ENQUETE SUR LA VIOLATION DES DROITS HUMAINS DANS LE CADRE DE L’EXPLOITATION MINIÈRE AU BURUNDI : Les cas des provinces de Cibitoke, Bujumbura, Kayanza et Muyinga

Le Burundi compte une grande diversité de gisements de minerais dont le nickel, les terres rares, le vanadium, l’or, l’étain, le tantale, le tungstène, etc. Le Burundi compte également plusieurs sites miniers opérationnels avec plusieurs titulaires d’une licence formelle d’exploitation mais l’informel occupe une part non négligeable dans le secteur.

L’extraction de matériaux de construction y compris l’extraction d’argile (pour la fabrication de briques et de tuiles), de kaolin, de roches carbonatées (pour la chaux et le ciment), d’ardoise et autres grandes pierres (matériaux de pavage), de gravier et de sable constituent également des activités répandues à travers le pays.

Toutes ces activités qu’elles soient menées dans le cadre formel, régulé et réglementé ou dans un cadre plutôt informel constituent parfois des occasions de méconnaissance voire de violation des droits des populations. Lire le rapport d’enquête en intégralité

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